Après être passé devant le Parlement, le texte doit être soumis au vote du Conseil européen. Mais ce ne devrait être qu’une formalité. Ensuite, la France devra s’y conformer à compter du 1er janvier 2016. Elle a bien compris l’inefficacité de cette loi pour la sécurité routière. Passer par la normalisation européenne pour abroger la limitation de puissance lui permet de s’en sortir en gardant la face.